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Étude de la capacité d'hyperaccumulation de cadmium en sol contaminé de Brassica juncea et de Helianthus annuus en comparaison avec Thlaspi caerulescens

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dc.contributor.author Capolla, Béatrice
dc.contributor.author Minchev, Todor
dc.date.accessioned 2017-08-23T20:27:30Z
dc.date.available 2017-08-23T20:27:30Z
dc.date.issued 2017
dc.identifier.uri https://eduq.info/xmlui/handle/11515/35171
dc.description Affiche présentée dans le cadre du Colloque de l'ARC, «Des racines et des ailes pour la recherche collégiale», dans le cadre du 85e Congrès de l’Acfas, Université McGill, Montréal, les 8 et 9 mai 2017. fr
dc.description Le deuxième prix a été décerné à Béatrice Capolla et Todor Minchev, au concours des Prix étudiants 2016-2017 de l'ARC. fr
dc.description.abstract Le cadmium est un métal lourd absorbé par les plantes lorsqu’il se trouve en trop grande concentration dans le sol. D’où son entrée dans la chaîne alimentaire, qui induit des troubles physiologiques. Sa pré-sence dans le sol est surtout due à l’extraction minière du zinc et à la production industrielle, et son retrait est souvent difficile. La phytoremédiation devient alors intéressante. Thlaspi caerulescens est une petite plante utilisée en Europe en extraction de métaux lourds. Mais elle présente des caractéristiques envahissantes, limitant son usage au Québec. Des plantes naturalisées ou indigènes telles que Helianthus annuus et Brassica juncea sont d'autres candidates potentielles. Des groupes de six à huit réplicats de chaque espèce ont été exposés à un sol contaminé pendant 39 jours. Par la suite, des tissus cibles ont été digérés à l’acide selon un protocole du Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec avant d’être analysés par spectrométrie à émission de plasma d’argon. Les résultats démontrent une différence significative entre la concentration de cadmium trouvée dans les tissus de B. juncea contaminés par rapport aux témoins, indiquant une capacité de phytoextraction. Chez H. annuus, la différence a été observée dans les racines plutôt que dans les feuilles, indiquant une capacité de phytostabilisation. Toutefois, aucune espèce n’a réussi à atteindre la concentration de T. caerulescens, compensant plutôt avec une biomasse plus élevée. fr
dc.format.extent 1 fichier PDF fr
dc.format.medium Ressource électronique fr
dc.language.iso fre fr
dc.publisher Cégep de Saint-Laurent fr
dc.subject Biologie fr
dc.title Étude de la capacité d'hyperaccumulation de cadmium en sol contaminé de Brassica juncea et de Helianthus annuus en comparaison avec Thlaspi caerulescens fr
dc.type Affiche scientifique fr


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