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Bioremédiation de sols contaminés aux hydrocarbures et aux métaux lourds à l’aide de bactéries génétiquement sélectionnées

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dc.contributor.author Sachetelli, Sébastien
dc.contributor.author Bleau, Katarina
dc.contributor.author Patenaude, Victor
dc.date.accessioned 2021-09-15T15:05:12Z
dc.date.available 2021-09-15T15:05:12Z
dc.date.issued 2019
dc.identifier.uri https://eduq.info/xmlui/handle/11515/38188
dc.description Affiche présentée dans le cadre du Colloque de l'ARC, «Pour que la formation de la relève scientifique soit sur toutes les lèvres», dans le cadre du 87e Congrès de l'Acfas, Université du Québec en Outaouais (UQO), Gatineau, le 28 mai 2019. fr
dc.description.abstract L’activité humaine a causé l’accumulation de métaux lourds et d’hydrocarbures à des niveaux toxiques dans les sols, et leur présence a de sérieuses répercussions sur la santé humaine et l’environnement. La remédiation de ces contaminants à l’aide de bactéries et de plantes présente une perspective plus efficace et écologique. L’étude a deux objectifs. Premièrement, comprendre pourquoi les bactéries évaluées par le passé ont une capacité à résister à de fortes concentrations de métaux lourds et d’hydrocarbures. Deuxièmement, tester in situ l’efficacité de nos bactéries à décontaminer des sols. Pour le premier objectif, nous avons vérifié au moyen d’une réaction en chaîne par polymérase la présence de gènes de résistance aux métaux lourds. Les résultats démontrent que nos bactéries possèdent deux gènes pour la dégradation des hydrocarbures et trois gènes pour la résistance au cadmium, au nickel et au zinc. Par la suite, nous avons épandu sur un terrain contaminé l’une de nos meilleures souches bactériennes avec du saule ou de la moutarde. Cette souche, lorsqu’associée avec du saule, a affiché une croissance de 1,6 fois plus que le contrôle. Pour la moutarde, cette augmentation a été de 2,3. À la fin de l’expérience, nous avons eu une diminution de 23 % des niveaux initiaux d’arsenic dans le sol, de 34,6 % pour le plomb, de 7,6 % pour le zinc et de 66,7 % pour le cadmium. Ceci démontre le potentiel de nos bactéries à aider les plantes à décontaminer efficacement le sol. fr
dc.format.extent 1 fichier PDF fr
dc.format.medium Ressource électronique fr
dc.language.iso fre fr
dc.publisher Collège Montmorency fr
dc.subject Biologie fr
dc.subject Environnement (Écologie) fr
dc.subject Pollution fr
dc.subject Recherche scientifique fr
dc.subject Enseignement collégial fr
dc.title Bioremédiation de sols contaminés aux hydrocarbures et aux métaux lourds à l’aide de bactéries génétiquement sélectionnées fr
dc.type Affiche scientifique fr


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